Blague à part, je suis d’accord avec toi sur le principe “ce n’est pas l’argent en lui-même qui rend con”. Par contre, je pense qu’on peut faire survivre le problème si on considère que l’argent est entendu ici non pas comme une somme de monnaie concrète, mais comme un ensemble de transactions qui organise notre société. Ce n’est plus alors l’utilisation du billet de 1 dollar qui peut rendre con/méchant, mais ce qu’on ferait pour en obtenir d’autre, ou pour ne pas le perdre, etc. A ce titre, on peut agir de manières qui ne sont cohérentes que si on les prend du point de vue de l’argent (comme des achats compulsifs pendant les soldes), ce qui peut faire dire que l’argent rend con/méchant en introduisant des mécaniques qui nous font prendre des décisions cons/méchant.
Je peux pas me l’offrir (l’autre clown orange a fait monter les enchères), mais je serais pas hostile à l’idée que nous allions nous y établir ma moitié et moi… Enfin, ça c’était jusqu’à ce que ce bonhomme orange laisse planer le doute que si un soir on s’installait au Groenland, comme dans n’importe quel pays libre, on risquait bien de se réveiller le lendemain matin soudainement américanisés, comme dans aucun pays libre. Très peu pour moi.
Toi aussi tu veux te payer le Groenland O.o ?
Blague à part, je suis d’accord avec toi sur le principe “ce n’est pas l’argent en lui-même qui rend con”. Par contre, je pense qu’on peut faire survivre le problème si on considère que l’argent est entendu ici non pas comme une somme de monnaie concrète, mais comme un ensemble de transactions qui organise notre société. Ce n’est plus alors l’utilisation du billet de 1 dollar qui peut rendre con/méchant, mais ce qu’on ferait pour en obtenir d’autre, ou pour ne pas le perdre, etc. A ce titre, on peut agir de manières qui ne sont cohérentes que si on les prend du point de vue de l’argent (comme des achats compulsifs pendant les soldes), ce qui peut faire dire que l’argent rend con/méchant en introduisant des mécaniques qui nous font prendre des décisions cons/méchant.
Je peux pas me l’offrir (l’autre clown orange a fait monter les enchères), mais je serais pas hostile à l’idée que nous allions nous y établir ma moitié et moi… Enfin, ça c’était jusqu’à ce que ce bonhomme orange laisse planer le doute que si un soir on s’installait au Groenland, comme dans n’importe quel pays libre, on risquait bien de se réveiller le lendemain matin soudainement américanisés, comme dans aucun pays libre. Très peu pour moi.