"Traiter ces données, c'est respecter la demande de reconnaissance qui a été exprimée", estime sur France Inter Jérémie Peltier, co-directeur général de la Fondation Jean-Jaurès qui a contribué à analyser les résultats. Il décrit une population française "très mature".
C’est probablement un usage intéréssant d’un outil de processing du language, car ça va permettre de faire un classement statistique de ces demandes et de savoir ce qui est majoritairement demandé
Oui, j’ai bien aimé l’expression du chercheur qui dit que ça contribue à faire tomber le “mur de Berlin” qui existe entre analyse qualitative et quantitative.
Avant, soit tu posais des questions libres et tu analyses les réponses en les lisant toutes et en faisant une méthodo ad-hoc en fonction des réponses (analyse quali)
Soit tu définissais un cadre strict avec des réponses très encadrées (oui/non ou une note de 1 à 5 pour des priorités) et ça te permettait de faire une analyse statistique plus représentative.
Là ça ouvre la porte aux deux approches simultanées.
C’est probablement un usage intéréssant d’un outil de processing du language, car ça va permettre de faire un classement statistique de ces demandes et de savoir ce qui est majoritairement demandé
Oui, j’ai bien aimé l’expression du chercheur qui dit que ça contribue à faire tomber le “mur de Berlin” qui existe entre analyse qualitative et quantitative.
Avant, soit tu posais des questions libres et tu analyses les réponses en les lisant toutes et en faisant une méthodo ad-hoc en fonction des réponses (analyse quali)
Soit tu définissais un cadre strict avec des réponses très encadrées (oui/non ou une note de 1 à 5 pour des priorités) et ça te permettait de faire une analyse statistique plus représentative.
Là ça ouvre la porte aux deux approches simultanées.